Campagne : Scenario 4

Le clan des Poing de Fahd, avec la terrrible Tirag à leur tête vous accueil le temps du retour de leur Roi et Prince. Leurs états de santés est plutot bon, et ils se remmettent lentement. Moshtug a perdu beaucoup de sa trame, et il est tres affaiblie.

Tirag a fait le partage, equitable, du butin du sac de la citadelle des Vipères, son ancien clan. Elle vous a donné également le medaillon de son père, un objet à filament puissant, d'un hero ork d'antan.

Vous avez donc le temps d'effectuer toutes les améliorations de vos trames.

Mais à l'aube du troisième jour, alors qu'un ork apportait le repas au maudit traite Gnagnag. L'ork hurla en appelant : "Vite le traite est mort !!!!!"

En effet, le corps balancant du traite au bout du corde attaché à une poutre, pouvait se voir dans l'encadrure de la porte....

Tirag : "Il a ravalé son gahad pour la dernière fois.......adieu"

Et quelques heures plustard, son corps était brulé sans personne autour pour le pleurer....

A vous maintenant :

RAPPEL : Faites vos augmentation via le forum que je sache ce que vous faite et que nous gagnions du temps... Seul Lenan'Sif et Ruisseau les ont fait....

Sujet de Ruisseau déplacé ici :

Citation de Ruisseau :

"Notre destin semble être de constituer un groupe néfaste à la cohésion de la société .... notre simple présence dans un lieu sera source de malheur .... Qu'en pensez vous mes amis ? Etes vous pret à vous charger d'un tel fardeau et faire souffrir nos contemporains pour les délivrer d'un mal encore plus grand ?"

Tu veux dire qu'ils ne verront en nous que le malheur dont nous serons la source?
Qu'ils ne verront pas ce que l'on va apporter?
Tu veux dire qu'ils ne vont pas nous aimer?
Cela ne me dérange pas. Je seuis un nécromant, j'ai déjà choisi d'emprunter cette voie.
Je suis prêt!

Lenan'Sif a écrit:

Tu veux dire qu'ils ne verront en nous que le malheur dont nous serons la source?

Non, je parlais bien du fait d'être la source de leur malheur.

Oui, oui.
Cela ne me dérange pas.

L'obsidien fixa l'elfe pendant un long moment, complètement immobile voir monolithique.

Lenan'Sif, je te respecte en tant qu'ami et en tant que le sage que tu es. Nous nous sommes déja sauvé mutuellement la vie à plusieurs reprises. Je sais que la magie du nethermancer t'ouvre la comprehension de concepts qui ne sont pas accessibles aux autres adeptes.
Néanmoins tu sembles indifférent aux souffrances que nous pourrions causer à d'autres donneurs de nom et ceci cause mon inquiétude. Je te demande en tant qu'ami de prendre quelques minutes pour dissiper cette vague crainte. D'ailleurs je pense qu'il serait préférable, bien que je ne force personne, que nous nous montrions tous que nous pouvons encore communiquer avec l'essence de ce monde en pratiquant nos arts.

Joignant le geste à la parole, le Ruisseau s'assit et entonna un chant traditionnel obsidien, prouvant qu'il était encore à ce stade vierge de toute marque.

Ruisseau : Fait un test de d'artisanat STP....

Quel carac pour le chant ?

A ton avis !

CHARISME

Euh … par contre le chant primitif obsidien c’est quand même surtout une question de connaisseurs, alors si vous connaissez pas ca risque d’être difficile à appréhender …

(Ouais ouais ils disent tous çà^^)



Ce n'est pas que j'me moque de la souffrance des donneurs de noms. Je n'y suis
pas indifférent.

Je suis peut-être un peu trop direct mais si nos actions doivent en passer par-là
pour un bien plus grand, je suis prêt à le faire.

Ce qui ne veut pas dire que je sois prêt à tout. A plus que la plupart des
gens, c'est tout.

C'est juste que mon domaine d'étude provoque déjà l'incompréhension et la peur.
Je ne suis plus à cela prêt.



Une partie de ma discipline est la compréhension des horreurs pour mieux les
combattre.

Pour l'instant, nous progressons sur notre route et bientôt nous aurons mieux à
faire que de nous occuper de chaque individu.

La lute contre les horreurs et les therans passent avant.

D'accord Lenan'Sif, je préfère ce point de vue. Je pense aussi que nous devrons assumer cette malédiction si cela doit éviter que quelque chose de pire ne se produise.